En plus de son attrait pour les grands murs, c’est dans son atelier qu’Asaz poursuit sa quête de transcription des émotions par le biais artistique. Il aime rencontrer ses sujets, pour mieux les connaitre et appréhender la combinaison entre ses idées typographiques et la personne qu’il a face à lui. C’est par un travail méticuleux sur le regard qu’il retranscrit les passions. Il joue avec les mots et entrelace les lettres pour provoquer cette étrange illusion d’optique. Le travail à l’aérographe s’assimile à celui d’un chirurgien. Cet outil est d’un grande précision quand son utilisateur réussi à le « dompter ». Malgré une recherche d’hyperréalisme, il souhaite laisser ses erreurs apparentes sur la toile afin qu’elle ne soit pas assimilé à une photographie.